L’étudiant fait partie des franges de la population la plus touchée par le stress. Le rythme haletant des cours, des heures de sommeil insuffisantes et bien d’autres difficultés peuvent mettre ses nerfs à rude épreuve. Ceci étant, il est possible de profiter des années universitaires sans trop souffrir des effets de l’angoisse. Comment ? Les réponses ci-après.
Adopter des habitudes beaucoup plus saines
Soumis à de fortes sollicitations physiques et mentales, l’étudiant tend à beaucoup stresser. La pratique d’exercices physiques devrait l’aider à mieux traverser cette période difficile. Le sport a le mérite d’améliorer le bien-être en régulant les taux hormonaux. En effet, le stress résulte d’un pic des sécrétions telles que l’adrénaline et la cortisone. Il ne faut pas devenir un super athlète universitaire pour décompresser. 1 séance de yoga par jour suffisent amplement. Tant mieux s’il est possible d’aller en salle de gym. L’ambiance de groupe contribue beaucoup pour retrouver la joie de vivre qui manque au train-train quotidien de l’étudiant. Dans tous les cas, l’effort physique est précurseur de l’hormone de la récompense. C’est une agréable sensation que l’on ressent après s’être donné à fond. Puis, les sources de bonheur sans alcool ni psychotropes sont fortement encouragées. Il faut s’accorder du temps pour aller au cinéma ou pour lire un livre non scolaire. L’alimentation joue également un rôle. Il est important de consommer suffisamment de vitamines du groupe B. Elles aident à mieux résister à la fatigue. Les éléments nutritifs tels que le zinc et le fer devraient aussi figurer dans le menu. De préférence, il faut de la nourriture fraîche non industrielle dans l’assiette. Les pâtes complètes, les amandes et les poissons sont indispensables. Surtout, il ne faut pas oublier de manger quotidiennement 5 fruits et légumes.
Améliorer la manière d’étudier pour moins stresser
Étudier demande beaucoup d’efforts, mais ne requiert pas nécessairement de souffrir le martyre. Les programmes d’apprentissage sont humainement possibles avec beaucoup d’organisation. L’universitaire doit notamment s’accorder suffisamment d’heures pour se reposer. Une méthode consiste à faire une pause bien méritée de 15 minutes après deux heures de concentration maximale. Le stress sévit moins chez les personnes qui dorment plus de 8 heures par nuit. Si le temps semble manquer, peut-être qu’il faut adopter de nouvelles stratégies pour réviser les cours. À ce titre, il ne faut « sécher » aucune séance. L’idéal serait d’assimiler l’essentiel en salle. À la maison, bon nombre de distractions empêchent de se concentrer. Il est préférable de ne pas avoir de télévision ni de jeu vidéo dans la chambre à coucher. Par ailleurs, les précieuses heures perdues sur les réseaux sociaux devraient être utilisées à bon escient. Enfin, il est toujours possible de demander de l’aide à autrui. Un autre jeune qui s’en sort mieux avec une matière peut apporter des explications supplémentaires. Un coach de bien-être peut également proposer des conseils pratiques. Il peut notamment proposer des cours de respiration pour davantage oxygéner les neurones. C’est en même temps un expert en médecine douce qui pourrait suggérer des recommandations précises sur l’hygiène de vie.
